liberté, égalité, fraternité
Liberté, égalité, fraternité. Ces trois mots inscrits à la façade de nos mairies, pas toutes hélas, représentent nos idéaux.
Ils sont inscrits là pour que chaque jour nous fassions tout ce qui est nécessaire à leur développement, ici et partout.
C’est grandes idées ne sont toujours faciles à décliner au quotidien. Est-ce que telle ou telle action va dans le sens de la liberté ? De l’égalité ? De la fraternité ? Ou est-ce une action contraire ou différente ? Chacun de nos gestes devraient nous inviter à nous poser ces questions pour prendre des décisions conformes à nos idéaux.
Comment traduire ces trois concepts en objets concrets ?
À mon sens, parmi les meilleures déclinaisons tangibles des idées de liberté, égalité et fraternité, se trouvent l’éducation, la santé et la justice.
Il n’y a pas de liberté sans éducation, pas d’égalité sans santé et pas de fraternité sans justice.
Si liberté, égalité et fraternité comptent vraiment à nos yeux, nous devons tout faire pour que l’éducation, la santé et la justice soient nos principales préoccupations citoyennes, les destinataires privilégiés du fruit de nos impôts, pour commencer, en tant que biens les plus précieux de la collectivité et de l’individu.
À l’heure où justement ces trois domaines sont la cible des restrictions les plus sévères, on peut se demander si liberté, égalité et fraternité méritent encore d’être gravés sur nos édifices officiels.